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              WorldWidePsychologiesdumonde

                                   worldwidepsychologiesdumonde@gmail.com   Site d'échanges entre professionels et avec le grand public 

Pour commencer...

- Bosche Marc, (2006), Néo-bouddhisme, quand le Bouddha ne sourit plus, perversion du lien et crispations communautaires, sur internet.

https://books.google.fr/books?id=L6_kEr-9WcAC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false

Quelques divergences sur ce dernier livre, notamment sur l'aspect admiratif vis-à-vis du Bouddhisme tibétain, des lamas tibétains et occidentaux, sur la crédulité des croyances concernant le magique qui génère, en fait, la peur vis-à-vis des lamas (énergies supérieures, perte du tiglé en cas de désobéïssance etc...) alors qu'il s'agit d'emprise psychologique et de sujétion. Mais texte très bien documenté et très juste sur la vie des centres tibétains en France et très bien documenté sur les antennes du centre de la France, au Bost et Laussédat (Keundreul Ling en Auvergne) et Dhagpo Kagyu Ling (en Dordogne)

Un peu long, des répétitions, mais il faut absolument aller jusqu'au bout pour bien comprendre de quoi il s'agit ...

Revues, articles

- Cultic Studies Review, USA (ICSA)

- Bulles, france, (Unadfi)

 

- http://www.antisectes.net/critique-susan-palmer.pdf

 

- http://inde.aujourdhuilemonde.com/le-nepal-interdit-aux-tibetains-de-celebrer-lanniversaire-du-dalai-lama 

 

- http://inde.aujourd'huilemonde.com/perquisition-au-monastère-d'un-influent-moine-proche-du-dalaï-lama-dans-le-nord-de-l’Inde-Inde-Information.mht

 

-http://bouddhanar.blogspot.fr/2011/11/sogyal-rinpoche.html

 

-http://www.marianne2.fr/Le-lama-Rinpoche-a-Paris-pas-si-zen-ces-bouddhistes_a211593.html

 

-http://wang888.skynetblogs.be/archive/2011/11/06/derives-sexuelles-dans-un-centre-bouddhique-inaugure-en-2008.html

 

-http://bouddhanar.blogspot.fr/2009/01/les-origines-de-bouddhisme-tibtain.html

 

- http://atheisme.free.fr/Votre_espace/Temoignage_bouddhisme.htm

 

- http://mobile.agoravox.fr/actualites/religions/article/tiens-voila-du-bouddha-voila-88755

-

- http://desmotscratie.net/post/2005/10/25/Le-dalai-lama-seme-la-zizanie-chez-les-scientifiques

- http://trinite.1.free.fr/vos_infos/liesi_jan_fev09.pdf

 

-http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/lamaisme.htm

 

- http://www.scienceshumaines.com/le-bouddhisme-une-religion-tolerante_fr_12908.html

 

- http://dharmakalu.com/

 

-http://sangha.leforum.eu/t2438-abus-de-faiblesse-aux-1000-bouddhas.htm

  

- Aujourd'hui, les blogs existent. Internet relie. Et ce qui était encore caché, enfoui, étouffé hier, se révèle au grand jour.

Ce qui se dit dans ces articles ne sont pas des cas isolés. L'abus de faiblesse relaté en Saône et Loire (avec Sogyal Rimpoché) n'est pas le seul cas en France : en 1993, un abus de faiblesse similaire dans le Sud-Est avec un autre lama. En 1989, un abus de faiblesse similaire dans l'Ouest avec un 3è lama. Jamais le même lama, mais toujours le même type d'abus dans le monde et le même mode opératoire, une constante.

Ces affaires, comme beaucoup d'autres, ont été étouffées. Ce sont aujourd'hui 3 grands centres tibétains, des machines à endoctriner en France massivement avec la complicité politique.

Les affaires concernant les abus sexuels sur femmes et enfants sont également étouffées, ou classées sans suite comme pour Sogyal Rimpoché au Royaume-Uni (c/ Mary Finnigan).. Ces affaires ne sont pas rares. Elles se produisent un peu partout dans le monde, comme en France.

Ces affaires sont écartées suite à des arrangements financiers avec les victimes...et du coup, échappent à la pénalisation et à tout autre mode de traitement. Ce serait pourtant le rôle d' un Procureur au nom de "l'ordre public", de " l'intérêt général ". Or, en France, les conséquences ne sont pas négligeables ni innocentes : le fait d'échapper à l'incrimination pénale  permet d' éviter de tomber dans la classification de secte, selon la loi française....

On comprend pourquoi les lamas préfèrent payer...et d'ailleurs, d'où leur vient cet argent ?

Dans un autre registre, des photos-montage existent, sensées montrer l'existence réelle des super-pouvoirs des lamas, et le fait qu'ils sont des divinités. Ne s'agit-il pas d'escroqueries et d'abus de faiblesse ?

Qu'en est-il également du Droit de l'enfant et de sa protection ?. On sait que des enfants sont encouragés à devenir Bouddhistes, pratiquent eux-mêmes la méditation, mais on sait aussi que les lamas, dont le Dalai-Lama, annoncent leur(s) future(s) réincarnation(s) en Occident...que vont devenir ces enfants (peut-être Français) à qui l'on dira sans relâche dès leur naissance qu'ils ne sont pas eux, mais un autre qui est mort avant leur naissance et qui était eux, et qu'ils sont aimés pour cet autre défunt qu'eux ?. Qu'en est-il en France du trafic d'ossements humains destinés à fabriquer les kapalas et kanglings (récipients et instruments de musique rituelliques) pour certaines pratiques, au très grand minimum 300 tous les 3 ans  (rituels de Tcheu, Mahakala) pour ceux qui entrent en retraite de 3 ans ?

Qu'en est-il des clauses du Droit des réfugiés pour ces lamas acceptés sur une terre d'accueil et qui se livrent à tout ceci ?. Qu'en est-il des infractions sociales commises par les adeptes vivant dans ces lamaseries ? ETC

Qu'en est-il de la législation sur le travail, bénévoles 7/7,nourris et logés pour les constructions de bâtiments et centres ?

Mémoires (liste non exhaustive)

 - Adams RN, Donna L, (1993), The Cincinati Church of Christ, Psychological abuse scale, Xavier University Ohio. Mémoire master Psychology 

- Alfoldi,(2003), La compétence évaluative en Protection de l'enfance, Toulouse. Thèse de Doctorat en Sciences de l'Education

- Guvier, A.(2007),  Risques d'atteinte à l'intégrité physique encourus par les adeptes de sectes, PU Franche-Comté. Thèse de Médecine

- Hussy et Neuprez, (1997), De l'espérance à l'esclavage. Mémoire de l'Ecole Supérieure du Travail Social,option éduc spé, Institut d' études sociales, Genève 

Lamote Thierry (2011), la Scientologie déchiffrée par la Psychanalyse, éd Psychanalyse, Presses Universitaires du Mirail. Thèse de Psychologie

- Leray B., (1974), les processus psychosociaux liés à un phénomène d'apparition : le cas de Dozulé, Institut de Psychologie et Sociologie appliqué, Angers. Mémoire de Maîtrise

- Langlaude Sylvie (2007), The right of the Child to religious freedom in international law, éd Martinus Nijhoff Publishers

- Marchand B, (1999), Police et sectes au Québec, Ecole de Criminologie, Montréal. Mémoire de Maîtrise

-Palisson Arnaud, (2002), le Droit pénal et la progression spirituelle au sein des sectes : l'exemple de l'Eglise de Scientologie. thèse de Doctorat

- Pelland, M.A.(2000), récits d'expérience de membres actifs et d'anciens membres de sectes,  Ecole Criminologie, Montréal. Mémoire de Maîtrise

- Puech (2000), Au-delà des représentations sociales

- Vidon Denise Andrée, (1999), Souffrance et croyance : le devenir sectaire dans le Bouddhisme tibétain occidentalisé, mémoire de DEA Psychologie Clinique et Psychopathologie, Lyon (non publié)

- Vidon Denise Andrée, (2000), La norme pénale : la légalité de l'incrimination au sujet des sectes, D.I.U. Sciences Pénales et Criminologiques, ISPEC Aix-en-Provence. Rapport de stage. (non publié)

La peur de l'info

Sous prétexte de droits d'auteur ou autres, certaines vidéos ont été supprimées directement par le site à la suite de réclamations et sans même m'en informer ou me contacter.

Au début, bon joueur, je réorganisais l'espace, mais j'ai décidé maintenant de laisser ces places vides après le retrait des vidéos pour souligner le poids de la censure, le poids des lobbies, des alliances de pouvoir, des peurs.

Aucune de ces vidéos n'était litigieuse, elles sont trouvées sur internet. J'ai remarqué un délai d'une semaine entre la mise sur site d'une vidéo et sa censure, comme quoi...l'esprit lamaïste de la censure veille....

Les vidéos sur l'esprit flashy de Sogyal Rimpoché ont été supprimées. De même celles sur les dérives made in usa and imported du scientisme bouddhiste occidentalisé dans le (para)-médical, les entreprises (etc), et les alliances avec d'autres sectes.

Dommage de ne pas jouer le jeu de la démocratie...

Ne restent que les vidéos sur les pratiques occidentales pseudo-religieuses du Bouddhisme tibétain...Peut- être pense-t-on que ça fait quand même de la pub favorable...(?).

Dans tous les cas, l'info passe, il suffit de lire le texte.

La vidéo censurée ci-dessous (juste au-dessus de la tête et de la vidéo du Dalai-Lama (comme quoi...) montrait la "chaise à lévitation", un truc utilisé aujourd'hui dans les spectacles de magiciens; et encore maintenant par les lamas pour montrer à leurs serfs leurs pouvoirs de lévitation et les impressionner, leur faire peur et les tenir sous contrôle : supercherie, le vrai mandala des lamas. Voir en 4è page de ce site.

Tai Situ Rimpoché,  à gauche

Des lamas en retraite dans un centre tibétain

en Russie, en bas

Oui parce-que...on est tous Bouddhistes nous dit Situ Rimpoché. C'est obligé. Qu'on le veuille ou pas. C'est ça le Bouddhisme tibétain. Sont sympas quand même...les oiseaux, le soleil, les plantes...sympas !.

Quant aux lamas ci-dessous, ils font Tummo, le yoga de la chaleur (un des Trulkors).Faut remarquer la petite vapeur derrière leur nuque qui s'échappe en même temps : un mécanisme caché sous le drap blanc. Génération de la chaleur interne du corps par la force de la médidtation ?, mandala de la supercherie je vous dis !


Tummo ? ci-dessus

Tummo est le nom d'une méditation de génération spontannée de la chaleur issue des 6 yogas de Naropa (ou Nigouma dans une variante).

Gyoulu ou corps illusoire (Rotchig,

saveur unique des choses, (cf article en 1è page news) en est une autre.

Eusel (claire lumière, non distinction sujet/objet), milam (non distinction entre rêve et réalité, rêve éveillé), bardo, Powa sont les suivantes.

Il existe maintenant des livres destinés au grand public pour se faire une idée de ce dont il s'agit.

Les 6 yogas sont pratiqués la dernière année de la retraite fermée de 3 ans dans tout l'Occident. Donc, en France aussi. Ces yogas permettent la "réalisation de la sagesse ultime", une décompensation au  pire ou au mieux... difficile de se prononcer.... 

Quand une mystique déréelle devient une réalité tangible pour certains...

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Six_yogas_de_N%C4%81ropa

Les Trulkors, c'est quoi ? vidéo ci-dessus à droite

Il est louable qu'un lama montre enfin publiquement ce que sont les Trulkors, ou tout au moins un exercice des trulkors, et en plus, en individuel. .. Cela part d'un esprit de transparence qui n'a jamais existé dans ce milieu tibétain occidental. Mais pourquoi maintenant ?

Toutefois, nous ne pourrons qu'encourager ce genre d'initiatives.

Les Trulkors est une pratique intensive quotidienne du corps comme quelques exercices le démontrent sur cette vidéo.

Ces Trulkors sont effectués la dernière année de la retraite fermée (en isolement total) de 3 ans dans les centres et monastères-lamaseries non seulement en France, mais dans tout l' Occident.

Cette pratique n'était pas si répandue au Tibet. Même avec des lamaseries de 3000 moines minimum, peu les pratiquaient, seulement une poignée d'entre eux. L'essentiel étant composé de mythes et de traditions héritées de lamas imaginaires dits surpuissants et réels et il faut le croire.

Alors qu'un lama tibétain fait la démonstration d'une coutume qui fait partie de son bain culturel, ce sont des occidentaux non habitués à la brutalité de ces exercices qui les pratiquent, les retraites fermées étant composées uniquement d'occidentaux convertis. Et il ne s'agit pas d'une poignée, mais au minimum de plusieurs centaines de personnes rien qu' en France tous les 3 ans. Rappelons qu'il existe en France (et ailleurs ?) des retraites fermées à vie depuis les années 80 et aucune certitude que cela existait au Tibet...

Alors que ces pratiques finissent par laisser des séquelles physiques irrémédiables chez les lamas tibétains les pratiquant régulièrement, elles entraînent bon nombre  de problèmes graves de santé chez les occidentaux : les corps sont cassés, soumis à des pressions et des tensions d'une extrême violence, laissant l'esprit fragilisé.

Ces yogas pratiqués dans le secret des retraites n'ont jamais été divulgués au grand public, ni aux professionnels de la santé. Aucun contrôle, aucune affiliation à aucune fédération sportive, ni de yoga pour valider la pratique de ces exercices et des 'enseignements de sagesse' qui leur servent de support. Rien n'a jamais été demandé, encadré. Tout ceci se fait donc en totale illégalité, mais avec l'assentiment tacite des pouvoirs publics nationaux et internationaux. Ces retraites fermées et ces pratiques existent pourtant depuis les années 80...

Suffit-il de rajouter une musique douce, de faire rêver à des mondes meilleurs (que nous sommes tellement ignorants de ne pas connaître au demeurant) pour endormir les consciences ?

Suffit-il d'enrober un bombon dans un joli paquet cadeau pour que le bombon soit bénéfique à la santé ??.

Le paquet cadeau est-il plus important que ce qui s'y trouve à l'intérieur ?

D'où vient l'argent pour le financement d'une telle entreprise au niveau national et international ?. Et cela, dès ses débuts.

La conversion massive au Bouddhisme tibétain profite à qui ? Pourquoi est-elle si étroitement associée à la revendication américaine territoriale sur le Tibet par rapport à la Chine ?. Pourquoi les populations occidentales doivent-elles en 'faire les frais' ?

Finalement, que se cache-t-il derrière les belles images édulcorées d'un paradis perdu que l'on aurait enfin retrouvé grâce aux Tibétains ?

Il est de constater que la présence asiatique en France et en Occident est très ancienne, mais n'a jamais dérivé en conversion massive, abus en tout genre, culte de la personnalité, leçons de morale et de suffisance auprès des populations comme le font et finissent par le faire tous ceux qui se réclament du Bouddhisme tibétain.

 

Grâce au lobbying des Bouddhistes tibétains occidentaux, le Bouddhisme est considéré comme la 4è religion et profite de cet avantage dans les administrations, auprès des pouvoirs publics. Alors qu'il est dit, par ailleurs, que le nombre de Bouddhistes est infime. Pourquoi donc ce traitement de faveur ?. Pourquoi n'y a -t-il pas de cultes chamaniques dans les hôpitaux, d' autres aumôniers chamaniques et polythéistes que Bouddhistes dans les prisons etc..?. Pourquoi privilégier le Bouddhisme par rapport à d'autres croyances non monothéïstes tout aussi minoritaires ?. Quelle responsabilité pour les institutions nationales, européennes, internationales ?

Le Bouddhisme tibétain emprunte aussi au culte démonologique une très grosse partie de sa liturgie rituelle, pour ne pas dire toute sa liturgie. Démonologie de considérer les émotions comme des démons, les "ignorants" comme des démons et les maladies comme le siège des démons. Dès lors, le soigneur, le thérapeute, le médecin est l'amshi (le chaman), celui des spiritualités animistes.

Mais pas seulement, il y a un véritable culte démoniaque dans cette pseudo-mystique compilée.

A-t-on jamais fait avancer dans l'Histoire de l'Humanité un culte démonologique comme une pure sagesse ?.

 

Yogis ?

Dans les faits, on remarque bien quand même que les lamas apprécient la matérialité (qu'ils jugent si négative pour nous...) de notre modèle moderne de société, et qu'ils ne cessent de critiquer par ailleurs. Car ils vivent toujours dans le luxe, voire la luxure, apprécient les produits de valeurs, ne renoncent pas à quelque plaisir.

 

C'est tout simplement parce-qu'ils sont dans la sagesse ultime, diront-ils, ou le Mahamudra (pour ne citer que 2 mots pour dire la même chose. Voir les 6 yogas).

Nous, pauvres malheureux ne connaissons pas le bonheur de vivre dans la sagesse. Et, du coup, nous sommes attachés à notre matérialité, nos biens matériels...pauvres hères que nous sommes à tourner sans fin dans la souffrance du samsara...Ben voyons !..Mais nous pouvons accéder à cette sagesse en leur faisant des dons, don de notre personne et de nos biens....Et, par compassion, ils nous aideront à être moins ignorants, à accéder à cette sagesse, et à souffrir moins !!...c'est ce qu'ils disent !!...

De quelle dérive parle-t-on ?. Voici présentés  ci-dessous 3 patterns de croyances tibétaines au Tibet.

Ci-dessous encore un exemple de yogi tibétain à gauche qui pratique des Trulkors plutôt "molassons". Sans doute du à son âge et qui n'ont rien à voir avec la pratique des trulkors. Très peu de lamas tibétains exilés pratiqu(ai)ent ces yogas. Et malheureusement, toujours le même système d'adoration au lama considéré comme un Bouddha. Et voilà ce que donne, à droite, la méditation sur l'impermanence, (ou encore non distinction sujet/objet), le Mahamudra qui permet de réaliser la sagesse, la nature de l'esprit, de devenir un Bouddha .. et de ne plus souffrir. Voilà ce qu'est cette sagesse, un air hébété...tiens, le pépé avec un bonnet sur la tête à la fin de la vidéo, c'est Kalou Rimpoché...celui dont June Campbell a montré la vraie sagesse et la vraie nature (de son esprit) dans son livre (1è page), un prédateur sexuel. C'était un système théocratique. Mais un système qui n'est pas reproductible ailleurs et qui a vécu jusqu'en 1959 au Tibet avec des survivances. Voilà de quoi sont nostalgiques les occidentaux convertis qui n'ont pas connu ce système, et plus que les Tibétains qui vivent actuellement au Tibet, qui n'ont peut-être plus envie de vivre ce système non plus.... tiens, on a supprimé la vidéo de tous les bons lamas des années 80-90 dits des bouddhas incommensurables de sagesse, épris de compassion !!.oh..dommage !

Le Hatha Yoga de BKS Lyengar...rien à voir !. Et à ne pas essayer...

Une aparté  et pas une pub : voici une vidéo à droite de Yoga indien, le Hatha Yoga. Ce sont des mouvements lents, doux et enchainés... difficiles et dangereux à reproduire.

BKS Lyengar en 1938. On note des petites différences d'avec les yogas tibétains quand même...

Car il paraîtrait que le yoga tibétain se serait vaguement inspiré anciennement du Hatha Yoga....

Voici ce qu'on trouve dans Wikipédia : "Attention, cette méthode sur l'alignement osseux doit tenir compte des contraintes propres à la morphologie osseuse des individus et à la forme de la colonne vertébrale. Nos articulations peuvent être déformées suite à notre croissance ou à des particularités génétiques. Les flexions en avant sont à pratiquer avec une grande prudence pour connaître ses limites osseuses du col du fémur dans le cotyle du bassin. Les alignements articulaires sont susceptibles d'être dangereux s'ils sont dus à des déformations congénitales, d'origine génétique ou de problèmes de croissance. Il est conseillé de lire les livres de xxx, Pathologie du Yoga et le livre sur l'aplomb - comment trouver la statique naturelle de l'homme et sa courbure de la colonne vertébrale.
Les défauts d'alignement peuvent être ajustés par cette méthode s'ils sont dus à un rétrécissement des longueurs des muscles, à une trop grande tonicité musculaire ou à une hypotonicité de certains muscles. Il est conseillé d'avoir un avis médical sur l'origine de ces déséquilibres. La pratique du Yoga est une pratique fondée sur des principes orthopédiques que l'homme moderne urbain a oublié ou laissé tomber."

Ce n'est pas à mettre entre toutes les mains...

Et voilà qu'en retraite de 3 ans dans le Bouddhisme tibétain, les adeptes pratiquent en France, mais plus généralement en Occident, des yogas très violents pour le corps (les trulkors, les préliminaires), aux mouvements brusques, sans connaissance du corps, sans suivi médical, sans alignement, sans affiliation à une fédération de yoga ou sportive...avec pour maître un lama qui n'en a pas plus. A ce sujet, au Tibet, c'était pareil. La pratique du yoga en Inde et au Tibet n'a pas pris le même chemin.

Par ailleurs, comme toujours en la matière, qui peut déterminer combien de TMS que l'on dit en pleine explosion, sont à l'origine de ces pratiques déviantes en Occident ?, au rythme de 300 personnes tous les 3 ans rien qu'en France depuis les années 90 et rien que dans les centres de retraite. Des corps cassés, mais aussi des maladies cancéreuses qui ne sont plus soignées.

 

 


Et alors ??!!... Liberté d'expression !

On pourrait rétorquer que Sogyal Rimpoche a bien le droit de croire que la nature de l'esprit est...flashy ...et de faire son show...(commentaires sur vidéo à gauche censurée)

En effet...,et que peut-être, il ne le croit pas vraiment,...Peut-être.

Il s'agissait à gauche d'une vidéo montrant Sogyal R. dans une boîte de nuit hollandaise en train d'admirer les loupiottes au plafond disséminées et organisées dans un filet numérique flashy (très lumineux), ceci représentant au pied de la lettre (réification) les connections neuronales, les axones et dendrites et par conséquent, une "manifestation" au sens du bouddhisme tibétain de la nature de l'esprit, une "manifestation" des connexions karmiques.

C'est une manifestation publique, peut-être la 1è, inaugurale, de ce qu'empruntera au "transhumanisme" cette idéologie : une jonction hasardeuse entre électronique, numérique, énergie kantique et les réalités parallèles, les pliures du temps et de l'espace (comme une feuille de papier où 2 points se rejoignent sur l'arrête du papier) etc.

Ceci devant naturellement expliquer les super-pouvoirs des lamas-bouddhas-yidams avec de nouveaux concepts transhumanistes, scientistes, kantiques et devant expliquer pourquoi grâce à la méditation, chacun peut retrouver la "nature de Bouddha en soi".

Les "Yoga modernes" ...

...et voilà, à droite, ce que ça donne...!!!. Vidéo censurée.

Il faut cher payer pour assister à cet enseignement de sagesse de Sogyal Rimpoche. Belle philosophie et belle religion !. Ou belle science ??...ou belle médecine...euh..

belle religion laïcisée...Belle thérapie spirituelle, oui, c'est le dernier truc à la mode !!.

 religieux qui veut...tant que le champ est bon et l'herbe bien grasse !

Une vidéo (à gauche et une autre censurée) censée démontrer le pouvoir de la guérison par suggestion. Des scientifiques qui se réclament du holisme ou holotropisme, de l'énergie quantique, la noétique (etc) se prêtent à faire croire que l'on peut guérir par la pensée donc, seulement si on le veut. C'est la déclinaison du yoga tibétain du corps illusoire et de la claire lumière. Cette mascarade est arrivée en France sous le nom de MBSR et MBCT (alliance du Bouddhisme tibétain occidentalisé et de la méditation transcendantale). Une vidéo est accessible au public sur internet mais il n'est pas possible de la télécharger ici (censurée). Alors vous pouvez aller sur youtube et visionner : thelivingmatrix the science of healing. 

 

Le Holotropisme y était dans les années 80 et y a contribué a adapter et développer le Bouddhisme tibétain au monde occidental avec l'aide de Bouddhistes Français et de leur lama, Kalou Rimpoché. C'était la 1è phase (voir article 1è page). Voici la 2è phase, très...flashy. Mais ces théories, présentées aujourd'hui comme des théories scientifiques nouvelles, sont prêtes depuis les années 80-90. Elles sont issues des Bouddhistes convertis adeptes de Bokar Rimpoché qui, ne pouvant pas quitter leur travail (parfois fonctionnaires de l'enseignement supérieur) pour effectuer une retraite de 3 ans, ont adapté les fondements des ces pratiques de méditation tibétaine à notre contexte plus moderne. Dans un premier temps, on parlait de "méditation dans l'action", ou "en marchant" etc (Lama Denis), .. Un deuxième volet de ce même courant est ce qui s'est appelée ensuite "la méditation de pleine conscience" ou "méditation intégrative thérapeutique",  mindfulness en Anglais (MBSr, MBCT

Une méditation entre relaxation, soin mystique de l'âme, pratique thérapeutique et dévotion qui pénètre le champ des hôpitaux et des entreprises pour soigner le stress.

Il s'agit là de la déviance de quelques centres tibétains, de quelques lamas dont Sogyal Rimpoché et d'autres installés depuis longtemps, certains natifs locaux (F ou UE).

La mindfulness (300 € les 6-8 scéances quand même...) a des indications dans des domaines aussi variés que le stress, l'estime de soi, les troubles alimentaires, des maladies allergiques, le système immunitaire,les douleurs chroniques, la récupération de l'effort pour les sportifs, attention, concentration, compréhension, décision, créativité, émergence de nouvelles ressources intellectuelles, prise de décision, bien-être, amélioration des relations, bienveillance envers soi et les autres, élévation du niveau de conscience. C'est vendu pour une thérapie cognitive et comportementale, dans le champ du religieux qui soigne autant des maladies très variées que les aspirations (bienveillance, élévation du niveau de conscience, émergence de nouvelles ressources intellectuelles...).

Une  méditation menée par des psy et donc appelée "thérapie" . Une thérapie du champ religieux qui se "laïcise" entend-on...C'est un peu difficile à comprendre. Une thérapie religieuse qui se sécularise...Mais c'est un peu comme si la prière se  "laïcisait" (un non-sens) : ce ne seraient plus des curés dans les églises qui feraient la prière pour tous (et on ne va pas chercher ceux qui sont présents), mais des psy dans les hôpitaux qui feraient la même prière auprès des malades et pour les soigner, en y ajoutant un peu de folklore (des visualisations, un peu de relaxation, encens...).

Ce ne sont plus les lamas, héritiers d'un système théocratique tortionnaire,  qui organisent et gèrent les sessions de méditations ouvertes au public dans les centres tibétains. Ce sont des psy spirituels qui organisent et gèrent les sessions de méditation dans les hôpitaux auprès des malades pour les soigner par méditation...les futurs gourous.., les psy rédempteurs.

En conclusion ?

Les vrais yogis existaient. Ils n'existent plus. Il s'agit d'un changement de civilisation : l'homme moderne n'a plus le même rythme de vie. 

A l'époque des vrais yogis, les imposteurs et charlatans existaient aussi (voir vidéo sur la lévitation censurée, mais aussi celles sur les lamas tibétains qui rejettent la matérialité pour les autres, pas pour eux, se considèrent des Bouddhas-dieux, et demandent la dévotion inconditionnelle, l'assujetissement, considèrent que nous sommes tous des adeptes potentiels puisque nous sommes tous Bouddhistes sans le savoir....)

Il est alors loisible de constater comment des escrocs d'une culture rencontrent des escrocs d'une autre culture, tout simplement.

Et qu'à la lumière de notre monde moderne, les impostures et escroqueries prennent d'autres apparences, d'autres formes et d'autres moyens, en copiant les codes culturels de la culture d'accueil.

 

En conclusion sur le fond, l'information contradictoire et la pédagogie sont le pendant nécessaire à la démocratie, la liberté d'expression et à toutes les libertés

 

En effet, libre à chacun de croire, de consommer y compris du spirituel, y compris même du sectaire selon son choix  (si l'on tient compte de l'activisme procédurier et politique du lobbby pro-sectaire). Mais pour faire ses choix, encore faut-il être informés des tenants et des aboutissants, de ce qu'est réellement le sectarisme, ses processus de manipulation, de ce qu'est un gourou..

Et lorsque la possibilité d'information est interdite, bafouée, tronquée ou lorsqu'elle est partielle, partisane, propagandaire, il faut alors s'interroger sur la manipulation d'un discours unique, séducteur et sur les objectifs d'un tel discours unique, ainsi que sur l'abscence de discours contradictoires dans une société qui se dit démocratique. Il s'agit d'une société qui laisse une prise à l'asservissement de l'être humain, qui l'entretient et l'organise. 

 

Ce site vise à recenser l'information contradictoire sur le Bouddhisme tibétain de par le monde pour apporter à l'internaute les moyens de choisir ses affiliations en connaissance de cause. Une information complémentaire qui, en France, n'apparait nulle part, pour ne pas dire, qui reste complètement cachée et traquée...

Le second objectif est de recenser les exactions des lamas en France et dans le monde.

En résumé ?

On a vu comment le yoga de tummo (génération de chaleur interne) génère surtout des déviances notamment au travers du packing (2è page, fin bibliographie) ou comment empaqueter des enfants autistes dans un drap mouillé en pensant que cela augmentera le niveau de conscience...

On voit comment les yogas du corps illusoire et de la claire lumière génèrent des déviances comme la guérison par la croyance d'être guéri (auto-suggestion), l'impositon des mains, la noétique, la méditation sur les pensées dont se réclame et s'inspire la méditation de pleine conscience ou mindfulness.

Ceci ne sont que quelques applications des collusions entre Bouddhisme et "science religieuse" ou pseudo-science.

Cette dérive sectaire utilise les dernières découvertes sur l'énergie quantique dans le domaine de la physique (des particules mi-matière mi-énergie existent, les excitons) pour récupérer ces applications dans le domaine du déréel : en effet, puisqu'il existe une matière non solide, pourrait-on dire, une matière-énergie, et donc une matière "lumineuse" électrique, cela signifie pour les fous du Bouddha mondialisé, que tout corps physique (donc matériel) est aussi énergie lumineuse non matérielle (ce qui renvoie, pensent-ils) au yoga du corps illusoire chez les Bouddhistes  tibétains convertis, version 'religion').

Partant de là, cela les autorise à dire que les maladies ne sont que vues de l'esprit, n'existent pas matériellement, réellement, et que l'on peut guérir si on pense que l'on n'est pas malade, et même si on le pense vraiment, par la pensée et la méditation, on peut guérir. Ah...retrouver la paix intérieure...

 

Les collusions entre Bouddhisme et religions sont autrement surprenantes.

On parle beaucoup du Tibet comme d'une terre mythique, du Tibet magique comme d'un paradis.

Mais comment  vivaient les  Tibétains  en  réalité ?.   Qu'en  sait-on ?. Mythique  pour  qui ?. De  quel  mythe  parle-t-on ?

 

Il est en effet très curieux de constater que les fervents Bouddhistes du monde entier sont prêts à cautionner un système des plus archaïques.

L'engouement pour un tel régime qui promeut le servage, le féodalisme le plus brutal, l'adoration d'autres êtres humains a de quoi surprendre venant d'occidentaux qui n'ont jamais connu ce système et pour un Occident sorti du féodalisme depuis plusieurs siècles. Ces mêmes occidentaux qui défendent dans leur pays avec vigueur les principes du régime démocratique (République ou Monarchie constitutionnelle), qui s'insurgent des moindres conditions de travail, des salaires mirobolants de leur patron, restent pantois, admiratifs et serviles devant le même système en dehors de leurs frontières...et pour un autre peuple !. Voilà un manque de consistance et de cohérence qui peut surprendre si on ne tient pas compte de l'altération partielle de la conscience et du déni extensif (de soi, des autres, des valeurs, du monde, de la vie, etc..) que génère l'endoctrinement sectaire.

Le système spirituel et mystique du Tibet reposait sur une société féodale qui lui est indiscociablement rattachée. Depuis son exil, le DL n'a de cesse que de reproduire ce système en Occident à force mensonges, tromperies, manipulations et mystifications et avec beaucoup de complicités politiques, faut-il le dire. La spiritualité véhiculée par le Bouddhisme tibétain oblige à une régression massive dont la dévotion au lama, ou au "maître" quel qu'il soit n'en est qu'une infime composante. Rappelons que les yogas enregistrés ci-dessus n'étaient pratiqués que par quelques uns. Aux bénéfices illusoires et imaginaires, ces yogis apprentis finissent cassés physiquement. Rappelons que les pratiques méditatives ont l'effet inverse de celui escompté par fixation et automatisme mental qu'elles génèrent en plus du culte de la personnalité et de l'adoration au gourou qu'elles finissent par susciter par exaltation, insatisfaction et frustration quant à l'abscence de résultats attendus dans la méditation (impermanence du corps, fusion S/O ne peut que générer frustrations et insatisfaction..). Rappelons que ces méditations vendues comme étant courantes au Tibet étaient elles aussi quasi inexistantes (voir vidéo sur la vie dans un monastère). C'est un mythe. Tout ceci n'est que mensonges. La réalité est plus crûe : un produit construit par esprit de marketing intensif. Par ailleurs, d'actuelles luttes internes sont apparues depuis 2008 en diaspora car le DL a banni le culte d'une divinitté (Shugden) pratiquée au Tibet depuis 300 ans et alors qu'un de ses maîtres s'en réclamait. La raison serait une volonté d'indépendance des pratiquants vis-à-vis du DL (voir les 3 vidéos ci-dessous à propos du rite Shugden). Ces luttes ont généré des meurtres en Inde et aux Etats-Unis, comme le relate Marc Bosche dans son livre également. Il est donc de constater l'incongruité d'un tel bannissement qui ne présente aucune raison logique et concrète, si ce n'est de continuer à copier l' Histoire des religions monothéistes (bannissement arbitraire de certains courants) dans un souci de pénétration du marché et de manipulation (copiage des codes culturels). En effet, d'aucuns parle de Schisme du Bouddhisme tibétain...Il est d'ailleurs amusant de constater que le DL est traité de dictateur par ces Bouddhistes, rappelant peut-être ses affiliations de jeunesse.... Mais, que le DL vienne à disparaître, ce système théocratique lui survivra. De même, les luttes et rivalités internes tendues à l'extrême des comportements, qui n'ont jamais cessé au Tibet et qui continuent en diaspora. Le système reste le même. Voilà ce qui se révèle derrière ce concept de paix, pacifisme, tolérance, non-violence ...

Quoi qu'il en soit, le Tibet mythique, le paradis, la terre d'éveil...ça existait peut-être, on peut le dire..., mais pour la caste des nobles seulement. Et c'est uniquement ce concept-là, d'un Tibet originel paradisiaque, qui est véhiculé en Occident, par les Bouddhistes du monde entier. Pourquoi ce mensonge ?. Une vieille frustration dûe aux conditions économiques difficiles du monde moderne et aux échecs personnels pousserait-elle à adorer un système archaïque où la place de quelques rares adeptes seraient au plus haut de l'échelle sociale, fût-ce t-elle utopique, illusoire ? : lama (religieux) adoré par un groupe d'adeptes au sein d'une micro-société, un microcosme moderne, plutôt qu'employé de bureaux, commercial, ouvrier d'usine, cadre, journaliste....ou "lama laïc"  psy qui annonce la méditation de pleine conscience comme d'un remède miracle "laïcisé"....Finalement, on découvre que la simonie et le féodalisme plaisent à beaucoup en Occident...L'adepte aussi parvient au statut 'divin' avec une cour d'adorateurs de niveau 'spirituel' inférieur au sien. Un gourou sous l'emprise de son gourou, et qui essaiemera à son tour, dans son périmètre (géographique, professionnel...).  - http://mondediplo.com/2008/05/09tibet

Les funérailles célestes  (à gauche)  .....    céleste  pour   qui ?. D'ailleurs, il est à supposer que cette traduction Française ne soit pas appropriée aux  termes tibétains

C'est le rite pratiqué pour le peuple uniquement. Les lamas ne sont pas jetés aux vautours. Ils sont enterrés dans des tombeaux luxueux, en or, et ont un rite spécifique. Ils sont momifiés et leurs entrailles sont prélevées, servent à faire des pilules miraculeuses. En effet, puisque les lamas sont dits être des Bouddhas, tout ce qui les concerne a valeur de qualité supra-naturelle omnipotente (une forme de cannibalisme spirituel "évoluée")

 

La vidéo (à gauche) peut choquer les âmes sensibles et les adolescents. En ce cas, aller directement à la 4è minute.

Les pilules miracle, mais aussi un rite initiatique et une pratique rituellique

“La consommation de matières fécales et d’urine, de sperme et de sang menstruel, mélangés à la chair humaine, prolonge la vie. ”

Ce sont ces cinq ingrédients qui entrent dans la composition des pilules de “nectar” (ou pilules de sagesse ou nectar de sagesse etc.., ndlr).

Source :

Le Kalachakra tantra, ” La Roue du Temps “, le texte le plus sacré du bouddhisme tibétain, sa rédaction remonterait au premier roi de Shambhala (Suchandra ” Lune parfaite “), source d' un blogueur.

La pratique rituellique du Kalachakra consiste à transformer en nectar de sagesse ces 5 éléments (ou les 5 liquides de la vie, qui inclut la lymphe) dits impurs et à les visualiser comme sagesse avant de les broyer par visualisation. Au Tibet, on peut supposer un raccourci réïfié du symbolisme au réel par abrasion de la psyché si l'on tient compte de l'appauvrissement intellectuel et spirituel de cette société (peuple et lamas) au fil des siècles du fait d'un régime théocratique réducteur et extrêmement brutal. Et si l'on suppose que ces rites étaient plus symboliques et plus symbolisés à leur origine historique, ce qui irait dans le sens contraire de l' Histoire. Le Kalachakra est la pratique et le tantra-racine du Dalaï-Lama. Ceux qui y sont initiés sont considérés commes des ...privilégiés....

Un autre bloggeur raconte qu'avant 1959, il était de coutume que des tibétains, issus du peuple pauvre et serfs, fîssent régulièrement la queue devant le Potala (palais du Dalaï-Lama) tous les matins pour récupérér sa crotte matinale et l'ingurgiter. Puisque tout ce qui est le Bouddha, tout ce qui émane de lui et donc tout ce qui sort du Bouddha est sagesse et promet une meilleure réincarnation...c'était un privilège....

Les pratiques quotidiennes de Mahakala (dans tous les centres tibétains du monde) incluent une partie où le broyage des adversaires du pratiquant, appelés "ennemis"  (et des adversaires du Bouddhisme...) est visualisé, par le broyage des 5 éléments qui les composent, après transformation en éléments de sagesse. Après ce broyage, ces éléments de sagesse (ses ennemis ou adversaires purifiés) sont visualisés en "torma", une figurine abstraite dite pure, de forme conique conçue à base de farine, façonnée avant le rituel et qui reçoit pendant le rituel ces éléments de sagesse visualisées. A la fin du rituel, une partie de ces "tormas" est jetée aux "esprits avides" (classe d'êtres dans la cosmologie tibétaine), une autre aux absents, et une autre partie est conservée sur l'autel jusqu'au prochain rituel.Cependant, il avait été rapporté au Tibet des pratiques avec du sang, non pas un artefact symbolisé (A. David Neel entre autres).

Dans cette idéologie spirituelle, il est à considérer la négation de l'intégrité et de l'entièreté même des adversaires potentiels : la personne est niée, instrumentalisée, ramenée à des objets. En effet, ce sont ses 5 éléments qui sont visés, impurs ou purs, adversaires actifs ou défaits (pur parce-que défait...), pas une personne. Il est à considérer également la confusion entre un rituel spirituel et un rituel guerrier. C'est que le rituel de Mahakala est dit un "rituel de protection" et Mahakala une divinité guerrière ou dite "courroucée". Kalachakra est également une divinité courroucée.

On touche là à une distinction essentielle et fondamentale entre les cultures chamaniques  et les cultures post-chamaniques, monothéïstes  : la dimension du sacré ne se situe pas aux mêmes endroits et ne recouvre pas les mêmes objets ni les mêmes notions. Dans les monothéïsmes, le corps et l'âme sont indissociables du vivant de la personne. Et, au-delà, le corps reste sacré, car était le réceptacle de l'âme, corps aussi à l'image de son créateur, indissociable de lui. Et même l'âme la plus noire reste une âme. C'est ce qu'a marqué le tournant radical de la réfutation du nestorianisme et du pélagianisme au Concile d' Ephèse qui a sacralisé l'être humain, mais pas le vivant, pas les animaux, la nature etc...qui, dans cette cosmologie, n'ont pas d'âme. Et du coup, cela instaure une hiérarchie de sacralité. C'est ce qui autorise l'indulgence, la rédemption par le pardon en théologie monothéïste. Et, ce concept se décline dans tout le champ des sociétés monothéïstes : c'est la réinsertion dans le social, ou la probation dans le judiciaire, la souplesse ou la bienveillance dans l'apprentissage et l'éducation (face à l'erreur ou l'échec), la possibilité de choix, l'aspiration aux égalités, le système de réussite, le respect des lois de guerre et des vaincus,  le respect du corps du défunt dans le rite, la condamnation de toute anthropophagie (cannibalisme, hémophagie, nécrophagie etc...). Du coup, il est loisible d'observer toutes les déviances de ce type de société quand elles se trouvent en délitement ou en acculturation et posent des hiérarchies là où il n'y en a pas.

Dans les cultures chamaniques, l'âme n'existe pas. Le sacré se vit et se ressent à travers tout ce qui compose les éléments de vie, le vivant (les 5 éléments). A ce titre, l'être humain est partie composante de ce vivant et n'en est pas supérieur, ni différent. Une place attribuée (rang social, éducation...) le reste et maintient une fonction dans cet ensemble élargi. La notion de hiérarchie est figée et non discutée. Le karma est immuable. La justice univoque. L'être est en relation avec le vivant où qu'il soit et tout le vivant est sacré. Sa rédemption peut être obtenue (la notion de temps diffère) car elle est fonction de cette rétribution des actes commis dans des vies antérieures (donc dans une notion étendue du vivant qui inclut des vies animales et d'autres 'magiques') où finalement l'être humain est sacralisé au même titre que les animaux, la nature, et pas plus. Dans les cultures chamaniques, les Dieux pouvaient revêtir forme animale. Mais une société vivante est une société qui évolue et toutes les sociétés évoluent à condition de rester en lien avec le territoire : la vache, en Inde, était sacrée jusqu'à peu. Ce n'est pas une considération spirituelle, mais une considération économique interne qui a poussé à cette évolution (problèmes de circulation routière). Dans les cultures chamaniques, la relation adulte/enfant n'est pas la même non plus.

Il est de constater que les sociétés acculturées sont sujettes à délitement ou déformation, abrasion et fixations (outre la crispation identitaire), perte de sens ou réinterprétation dissociée de leurs rites, en dehors de leur contexte sociologique strict. Et il est de constater que les cultures chamaniques et monothéïstes qui se rencontrent n'y échappent pas. Car les concepts sont interrogés et notamment cette notion du sacré. Il est possible que la notion restrictive du sacré accordée à l'être humain dans les sociétés monothéïstes actuelles soit une des conditions prédisposantes à l'émergence du chamanisme tibétain en Occident, qui, de son côté, cherche un autre territoire où recréer la fixation identitaire des lamas et d'une société qui était déjà crispée sur elle-même, prêts à toutes les concessions. Une fixation culturelle répondrait à une autre fixation culturelle.

Ainsi, la Chrétienté occidentale (via JP II), en ouvrant la voie au chamanisme tibétain (voir article de Palisson sur le Cesnur, page 2) en espérant de cette manière récupérer quasi-frauduleusement à terme des "brebis égarées" n'aura fait que précipiter sa propre évolution, ou sa propre fin, se contraindre à une évolution théologique majeure ou à un délitement. Si ce raisonnement se tient, l'on pourra assister à un nouveau mouvement sociétal majeur dans les prochaines décennies : soit le désintérêt programmé pour le Bouddhisme tibétain et la fin de ce qui pourra être interprêté comme un "effet de mode" (ce qui inclut l'acceptation du Tibet dans le giron chinois, la fin de la médiatisation du DL et de la vente de son fond de commerce, la fermeture de bon nombre de centres tibétains dans le monde), ou il est fort à parier un prochain Concile dans les décennies à venir qui donne les lignes d'une future sacralité du vivant, comme le firent à chaque fois les précédents conciles. Ainsi, il n'est pas innocent que les idéologues sectaires rappellent constamment le Concile de Vatican 2 qui fût une avancée majeure. Mais plus que Vatican 2, le courant inverse imposé par le synode des évêques lui ayant succédé (en 1965) en a posé les limites rétrogrades et plongent ces sociétés monothéïstes dans une impasse, une inadaptation au monde moderne à certains endroits. C'est peut-être ce que vient interroger de manière symptomatique et symbolique (par conséquent) cette protubérance sociologique qu'est le sectarisme. En ce cas, il s'agit bien d'une protubérance inhérente à une difficulté d'évolution, une conséquence, et pas une évolution en soi (sous couvert de tolérance ou de libertés religieuses..). Car, il faut bien voir que, dans les faits et d'un point de vue sociologique et organisationnel, les sectes ont un modèle autocratique, despotique à l'opposé de leurs revendications libertaires, progressistes et de leur emprunt langagier à l'innovant.

D' un autre côté, si on reste Darwinien, on peut mettre bout à bout quelques idées et pistes de réflexion philosophiques : l'évolution des espèces pourrait ne pas être un processus figé (Freud avait déjà émis une hypothèse à ce sujet à propos des animaux); le rapport à la nature issu du 18è siècle a modelé les sociétés occidentales industrielles et précipité l'anthropocène (sous réserve de validation par le Congrés International de géologie) dont on connaît maintenant les limites en rapport avec l'appauvrissement des ressources naturelles et le changement climatique; le rapport au sacré du corps humain restrictif dans les religions monothéïstes qui va jusqu'à interdire l'avortement, la contraception, le préservatif, la fin de vie, la recherche génétique, la procréation assistée, la thérapie génique (etc) est source d'expansion des maladies et/ou d'extinction de l'espèce humaine (sida etc...) et n'est plus en relation avec le monde moderne. L'approche écologique du monde moderne appelle aussi une re-définition du sacré, pour une re-définition des rapports de l'Homme dans son élément naturel, vivant.

Ainsi, la notion du sacré définit la place de l'Homme dans son environnement et ses rapports avec lui. C'est un concept méta-organisationnel des cultures et des sociétés qui garantit leur existence et qui n'a aucun rapport avec la déclinaison politique d'un régime (laïcité ou fusion église-état) : il existe des sociétés chamaniques et monothéïstes qui ont un régime de fusion Eglise-Etat.

La laïcité autorise la diversité religieuse, mais ne la finance pas, ne la promeut pas, ne la hiérarchise pas de juris, et n'en privilégie aucune de ses composantes. Force de constater que ce n'est pas le cas non plus en France....

De même, si un Etat demande conseils, ne serait-ce seulement que pour consultation et avis, pour l'élaboration de ses lois (fin de vie, PMA, avortement, mariage homosexuel, etc) aux instances religieuses diverses composées en groupe de représentants officiels, alors ce n'est plus un Etat laïc mais multi-confessionnel et communautariste. Car ces lois ne concernent pas la gestion des diverses minorités religieuses (y compris les chrétiens depuis la loi 1905) mais  s'imposent à l'ensemble de la population et du pays. Un Etat laïc donne le ton sans se soucier des avis des religions qui restent à leur niveau et ne gèrent pas le bien public d'une manière ou d'une autre.

...Getsulmas, Gelongmas... des nonnes, des nonnes...comme des petits pains....

oui...mais depuis quand ???.....

Il faut savoir que le statut de nonne n'existait pas dans le lamaïsme (le bouddhisme tibétain ou le vajrayana)...tout au moins avant les années 90, ni au Tibet, ni en Inde, ni en Occident, ni sur la lune, ni dans un bhumi. C'est une invention occidentale.

En effet, si on a compris que la condition de la femme était reléguée  à un rang pire encore que le plus pauvre des serfs, si on a compris qu'être moine était un statut social néanmoins enviable dans une théocratie par rapport à ceux qui ne le sont pas, on a compris pourquoi il n'existait pas  "d'ordre" de nonnes...

 

C'est Thich Nhat hanh qui a crée l'ordre des Gelongmas et Getsulmas début des années 90 et ceci en France, en Dordogne à Dhagpo Kagyu Ling (la branche de lama Gendun qui est devenue la branche "religieuse" du Bouddhisme tibétain en France), en donnant les vœux  (les samayas) de Gelongma à la 1è  femme lama britannique, proche disciple de lama Gendun. Puis de là, lama Gendun a ordonné des troupes de Gelongmas*.

Or, Thich Nhat Hanh appartient au courant Theravada (Hinayana et Mahayana), pas Vajrayana. Ce qui pose un problème d'authenticité du lignage et  de crédibilité, mais on a considéré que c'était ok, pour les besoins du moment, à savoir copier le courant religieux catholique afin d'obtenir le statut de religion  en France (en 1993).

Donc, quand on entend dire que le bouddhisme tibétain est de lignée ininterrompue depuis la nuit des temps...c'est sans doute que la nuit des temps, c'était l'avant-veille...Et ça se tient puisque les traducteurs tibétologues praticiens, les premiers adeptes devenus à leur tour des lamas, ont introduits des notions particulières et un vocabulaire prompt à susciter le merveilleux, le magique par l'imagerie et l'irrationnel, la mesure étalon n'est donc pas la même (temps, espace). Ex, un "océan" pour dire "grand", "un éon" pour dire "longtemps"....c'est beau...

Mais ça reste quand même l'avant-veille....

 

C'est ensuite Kandroma (Kandro rimpoché), intronisée  Gelongma pour les besoins de cette idéologie début des années 90 en Inde ou au Népal, qui a crée le 1er  "monastère" de nonnes vajrayana en Inde, en diaspora et bien après l'exil de 1959 (elle est née en 1967). En effet, même si elle a été reconnue "Dakini" à 2 ans selon la légende biographique, les dakinis ne prenaient pas de vœux de nonnes...puisque ça n'existait pas. Les "dakinis" avaient pour finalité de finir youms (traduit par consort par le groupe des lamas traducteurs, mais en réalité "objet sexuel" serait plus exact) d'un ou plusieurs grands lamas. Aussi, kandroma a été ravie de prendre des vœux de Gelongma et d'échapper ainsi à son funeste sort....

On connaît la légende de la youm de Padmasambava, Yéshé  Togyal,  qui raconte qu'elle avait été violée par un groupe de rodeurs dans les montagnes et avait obtenu l'éveil (l'état de bouddha ou la bouddhéité) en ne s'opposant pas à ce viol collectif et en voyant l'immatérialité de ces actes comme le reflet de son pur esprit..; ce qui pesait et pèse sur les femmes de la noblesse tibétaine était donc très lourd. On imagine ce qui pesait sur celles qui n'appartenaient pas à la noblesse....

Grâce à cette idéologie du lamaïsme occidental, Kandro rimpoché a connu un autre destin plus heureux, au même niveau que les lamas rimpoches asiatiques, tibétains, népalais, bhoutanais. et en plus, en Occident. Donc, l'ordre des Gelongmas n'existe en France et en Occident tout au plus que depuis 30 ans, celui des Getsulmas pas plus. Tout comme en Asie.

 

Aussi, quand on voit un film, un reportage à sortir bientôt sur de vieilles nonnes du vajrayana, toutes ridées et frippées, "bénir leur pain quotidien" par une formule en élevant au-dessus d'elles leur bol, c'est de l'emprunt et une pure invention récente. En effet, mêmes très âgées, aux environs des 70-80 ans, ces nonnes ne le sont tout au plus que depuis 20-30 ans, au moins depuis la veille et au plus depuis une dizaine d'années...

D'ailleurs, il est curieux de voir la sanctification du bol de nourriture en l'élevant au-dessus de la tête, à la façon du curé chrétien, mais sans la référence à un divin verticalisé, un dieu au-dessus de l'être humain puisque dans le vajrayana, il n'existe pas de dieu car le dieu, ou la divinité, c'est le sujet lui-même ou le bouddha (ce qui revient au même car il y a toujours une identification-dissolution du sujet pratiquant à la divinité de la pratique)...Cette cérémonie copie  la cérémonie que fait le curé devant  l'autel de Jésus. A la limite, le bol pourrait être mis sur la tête ou par terre, ce serait pareil puisque ça n'a pas de sens....autre que de copier un rituel chrétien pour simuler, faire croire à une religion.

a  seule "bénédiction" de la nourriture se fait par la puja (le rituel d'une divinité, min 1heure) dans les tsoks. Et ce n'est pas le corps du Christ, mais des offrandes de nourriture et d'alcool qui sont sacralisées par la puja et ensuite dégustées par les convives. Rien à voir avec le sens de l'ostie.

Donc, on voit  sur cette vidéo des nonnes célébrer un repas et louer leur propre esprit et leur propre corps en tant que "seigneur bouddha" comme le Christ qui est une ineptie totale, une aberration, une construction récente qui ne correspond à rien...mais qui leurre encore une fois les occidentaux crédules, fourvoie la population et les femmes de ces régions asiatiques : au lieu de leur apprendre leur indépendance d'esprit, leur apprendre à lire, écrire, étudier, leur donner des repères pour vivre dans ce monde moderne, on les clive de la réalité, on leur apprend à copier un système dépassé et effondré et on les y maintient, en reproduisant un "ordre" qui n'a jamais existé dans leur pays d'origine, au Tibet, ni ailleurs, mais en plus, on fait croire aux occidentaux que cet ordre a toujours existé. On rend ces braves femmes complices d'une supercherie, qui y trouvent bien leur compte dans une vie déjà meilleure que celle qu'elles avaient et peut-être auraient pu avoir autrement...


D'ailleurs, l'impact, le pouvoir et les distorsions anachroniques de cette idéologie occidentale se font sentir dans l'Asie plus généralement, comme au Bhoutan, en particulier,  pas seulement en Occident, suivant ce lien : http://www.bhutannuns.org/first-getsulma-ordination-in-punakha/

Ainsi, lon y lit que :

l'ordination des Gelongmas est controversée, les asiatiques eux-mêmes ne sachant pas que ça existe et que c'est possible...

l'ordination de Getsulmas est une première étape de vœux avant les vœux de Gelongmas. Mais ..."no formal definition of the requirements".

la première ordination de Getsulmas au Bhoutan date de Mai 2014, et la "Buddhist Nuns Foundation" (la BNF) date de 2009...

Ben sûr, à grand renfort financier, le pouvoir américano-quelque chose impacte l'évolution de société...les nonnes bhoutanaises ont l'assurance et la fierté d'appartenir à une élite locale, de voyager dans le monde, de contribuer à la mise en religiosité de leur civilisation. Même au goût de néo-religion,, certes.

 

 

Un jour, on nous dira que Malraux avait dit que le XXIè siècle serait religieux....La question serait plutôt : qui a récupéré son propos au XXè siècle ?

 

 

 

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* La première gelongma et la seule au monde  en 1989-1990 fût une lama britannique proche disciple de lama Gendun, traductrice, guide spirituel et maître de retraite

Puis en 1993, la seconde fournée des sortants et sortantes de  retraites de 7 ans a produit son lot de lamas (et lamases, le féminin !, oups !) dont une poignée de 5-6 gelongmas et les 4 premières retraitantes à vie, recluses à vie.

En 1997, la troisième fournée de lamases a permis d'introniser une quinzaine de gelongmas supplémentaires et quelques retraitantes à vie supplémentaires.